solidarité avec les bûcherons marocains exploités par leur employeur
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Créée par François Pajot
C’est en toute légalité, avec une autorisation de Pôle Emploi, qu’Hamid, Driss et Mohammed sont arrivés en juin 2017 dans le sud de l’Indre, suivis par Rachid et Mustapha en février 2018. Ils ont entre 31 et 46 ans. Ils sont bûcherons et sont venus travailler pour cet homme car ils le connaissaient et qu’il venait souvent dans leur village. C’est ainsi que tous les jours de 8h à 18h, ils étaient amenés sur un chantier pour couper du bois, dans l’Indre, en Creuse, en Auvergne, avec seulement 20 minutes de pause pour déjeuner. A la fin de la journée, l’employeur venait les chercher pour les ramener à l’appartement. Et le week-end, il les faisait travailler dans le restaurant rapide qu’il était en train d’aménager. Ils travaillaient sur les chantiers forestiers sans équipement approprié, sans EPI. Suite à ça, Mohammed se blessera à la jambe avec une tronçonneuse fin octobre 2017. Et après des soins plus que sommaires, il devra regagner le Maroc dans un état de santé alarmant (voyage de retour payé par des amis de son village natal) Ils ont signé des contrats de 35h, en CDI pour Driss, Mohammed et Hamid, en CDD pour Rachid et Mustapha, qui se sont transformés en véritable esclavage. ils se retrouvent sans ressources. Une action aux Prud’hommes a été engagée, mais ils n’ont aucun soutien des autorités.
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Merci à tous.
Créée le 01-08-18
c est la rentree
le 10 septembre 2018Cette semaine a été chargé
Lundi, un patron est venu rencontrer nos amis à Aigurande et souhaite les embaucher (en cdd), cela semble possible pour Hamid et Driss, mais Hamid va partir travailler avec Aziz Alawi à Tulle, du fait de la fin de sa carte de séjour qui expire le 7/09. Pour Mustapha et Rachid, c'est plus compliqué, à cause de la mention "saisonnier" sur leur carte de séjour. Cela peut peut être être changé par le préfet mais il faut faire pression...
nouvelles
le 05 août 2018résultat du délibéré le 23Aout,c'est bien, c'est à la hauteur de l'urgence de justice
25 participants
Antoine
Godon
+10€
Emilie
Moreau
+20€
Annie
Stasse
+20€
Olivier
Dimitroff
+40€
Benoit
Fleurey
+20€
Ibrahim
FILALI
+60€
mathilde
geslin
+20€
marie-b
jourdain
+10€
Anne Laure
Viaud
+40€
Antony
Moreau
+20€
Jean-Claude
GAudebout
+50€
Olivier
Perrin
+30€
Mark
Maddrell
+30€
Albert
BONNECAZE
+20€
Barbara
ALICO-AVRIL
+100€
Chantal
CUISNIER
+50€
Laurent
Dantou
+50.01€
Irène
Poupon
+25€
PASCALE
MENUEL
+15€
Louis
Hache
+20€
Rachèle
ALEXANDRE
+20€
Patrice
VIGNE
+150€
Bouchra
Boukili
+30€
Jacqueline
MESIERE
+30€
Antoine
Klein
Contacter le créateur de la cagnotte
Description
C’est en toute légalité, avec une autorisation de Pôle Emploi, qu’Hamid, Driss et Mohammed sont arrivés en juin 2017 dans le sud de l’Indre, suivis par Rachid et Mustapha en février 2018. Ils ont entre 31 et 46 ans. Ils sont bûcherons et sont venus travailler pour cet homme car ils le connaissaient et qu’il venait souvent dans leur village. C’est ainsi que tous les jours de 8h à 18h, ils étaient amenés sur un chantier pour couper du bois, dans l’Indre, en Creuse, en Auvergne, avec seulement 20 minutes de pause pour déjeuner. A la fin de la journée, l’employeur venait les chercher pour les ramener à l’appartement. Et le week-end, il les faisait travailler dans le restaurant rapide qu’il était en train d’aménager. Ils travaillaient sur les chantiers forestiers sans équipement approprié, sans EPI. Suite à ça, Mohammed se blessera à la jambe avec une tronçonneuse fin octobre 2017. Et après des soins plus que sommaires, il devra regagner le Maroc dans un état de santé alarmant (voyage de retour payé par des amis de son village natal) Ils ont signé des contrats de 35h, en CDI pour Driss, Mohammed et Hamid, en CDD pour Rachid et Mustapha, qui se sont transformés en véritable esclavage. ils se retrouvent sans ressources. Une action aux Prud’hommes a été engagée, mais ils n’ont aucun soutien des autorités.
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+ Frais de participation : € Total : €